Life will be beautiful (La vie sera belle )

90'
Director(s) : Edwin BAILY
Author(s) : Alain LE HENRY
Cast : Esteban CARVAJAL ALEGRIA
Milan MAUGER
Grégoire LEPRINCE RINGUET
Renaud CESTRE
Pierre DERENNE
Philippe TORRETON
Year : 2007
For : France 2
Shot in : Super 16

A story of friendship and closeness, a tale of courage and broken dreams.

Life will be beautiful
A story of friendship and closeness, a tale of courage and broken dreams. At first there are Pierre Thomas and Lucien Laclos, bosom pals although totally different. Thomas is outgoing, fearless, a man of action and a born leader. Laclos is reserved, a dreamer, an artist. What do they have in common? A stong inclination to change the world and a refusal to bow down.


What binds them? A rejection of the French defeat and subsequent German occupation, a hatred of Nazism and contempt for the cowardice of collaboration. Others join them. Jacques Naudin is the oldest and also the most mature. Pierre Grellier is joyful,

resourceful and athletic. Jean Artaud, Pierre's opposite, is the youngest of the group, a frail, shy and withdrawn boy. Five young men, all from well-off families, whom fate never intended to be partisans in an occupied Paris. Like the fingers on one hand, they are so different from each other and yet so close. Their love is not spoken aloud. It's not the sort of thing you talk about when, at the age of 17, you decide to take on Nazi Germany.


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C’est une histoire d’amitié et de complicité. Une histoire de courage et de rêves brisés. Au départ il y a Pierre Thomas et Lucien Laclos. Aussi inséparables que dissemblables. Thomas est extraverti, intrépide, porté vers l’action. Un meneur-né. Laclos est rêveur, un peu secret, artiste.

Ce qui les rapproche ? Une propension à vouloir refaire le monde, le refus de subir. Ce qui les a unis ? Le refus de la défaite et de l’Occupation. La haine du nazisme, le mépris des lâches accommodements de la collaboration. D’autres vont se joindre à eux. Jacques Naudin est le plus âgé, le plus mûr aussi. Un physique de jeune premier, une tête bien faite. Pierre Grellier est joyeux, débrouillard, sportif. Le copain idéal. Jean Artaud est son opposé : benjamin du groupe, c’est un garçon de santé fragile, timide, renfermé.

 Cinq jeunes gens, issus de familles bourgeoises, que rien ne prédestinait à jouer les partisans dans Paris occupé. Cinq comme les doigts de la main. Si différents et si proches. Ils s’aiment mais ne le disent pas. On ne dit pas ces choses-là quand on a décidé, à 17 ans, de braver l’Allemagne nazie.


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