Losing hearts (Bas les coeurs )

1870. France declares war on Prussia. The Barbier family from Versailles confidently wait for the war to start .

The bourgeois have only admiration for the French army and bet on how many days it will until the French army sings the French national anthem - La Marseillaise - in Berlin. Various characters are portrayed in this story of one of French history's most enthralling episodes, such as Monsieur Pion, the teacher, Madame Arnal, grand-father Toussaint, Beaugrain, the retired Captain, the local tobacconist and above all the anarchist Merlin. Everyone has their own opinion which they don't hesitate to express. They bet, they get wound up, they cheer for victory and refuse to be defeated. The lazy local bourgeoisie have just one goal: to survive the town's infighting. Surviving is the priority at any cost! Even if it means losing one's honour.

Their son, Jean Barbier, is disappointed and critical of their cowardice and of the pitiful world he lives in. Luckily for him, his elderly neighbour Father Merlin comforts him and sets him back on the right track, telling him about the atrocity of war,  the dangers of patriotism and of the importance of giving and forgiving.

1870, la France déclare la guerre à la Prusse. Installée à Versailles, la  famille Barbier attend la guerre avec confiance.

Les notables ne tarissent pas d’éloges sur l’armée française et parient sur le nombre de jours qu’il faudra avant de chanter la Marseillaise à Berlin. Une galerie de portraits (le professeur Pion, Madame Arnal, le grand-père Toussaint, Beaugrain le capitaine en retraite, le marchand de tabac, et surtout l’anarchiste Merlin) est lancée sur le tapis brûlant de la grande Histoire. Chacun s’exprime, parie, gesticule, applaudit les victoires, et refuse obstinément les défaites. La bourgeoisie n’a qu’un objectif : survivre aux affrontements de la Commune. Bref survivre à n’importe quel prix ! Même celui du déshonneur.

 Jean 12 ans le fils de la famille porte sur ce monde lâche et pitoyable un regard déçu, puis acide.  Heureusement son vieux voisin le père Merlin apaise sa souffrance et tente de le remettre dans le droit chemin : le dégoût de la guerre, la supercherie du patriotisme, et l’amour fou pour la générosité et le pardon.